Je ne danserai que pour toi
Christ'Nancya
Dans la famille Aborazame, on est danseuse étoile de mère en fille depuis la nuit des temps. Sauf Amaya-Louise, seize ans et enceinte. Six ans plus tard, elle est à la tête de l’entreprise familiale à la suite du décès de son père. Maman et PDG, elle doit faire face à ses complexes, ses angoisses et aux défis de l’amour qu’elle évite comme la peste, généralement. A quelques jours de Noël, elle rencontre et aide un vieillard dans le besoin. Pour la remercier, il lui offre trois billes permettant d’exaucer trois vœux chers à son cœur. Bonheur, validation, amour, reconnaissance, succès, argent, immortalité, invincibilité, que va-t-elle choisir ? Philippe André Moretti, galeriste, fait-il bien de jeter son dévolu sur elle ? Bien qu’il soit troublé, il ne peut s’empêcher de l’aimer alors même qu’elle l’évite. Amaya finira-t-elle par comprendre qu’il est plus simple de vivre que d’endurer le fardeau de ses propres souhaits ? Si « un grand pouvoir implique de grandes responsabilités », inéluctablement, un grand vœu implique de grands sacrifices. Malheureusement, trop souvent, on sous-estime le prix à payer.