Bravo à toi, Céline, et bonne chance pour la suite. Deux PDG de maisons d'édition m'ont écrit hier que la situation de la fiction française comme étrangère était épouvantable, que ça les amenait à ne publier que les livres de leurs auteurs actuels (l'un des d'eux) ou que la capacité d'accueil de nouveaux auteurs s'en trouvait d'autant plus limitée, j'espère pour toi que la romance n'est pas trop impactée, et encore moins en versions numériques, mais ça m'a fait tout drôle venant d'abord d'un géant de l'édition. Ce ne doit pas être drôle d'être éditeur ou libraire aujourd'hui.
Merci Philippe pour tes nombreux retours et pour tes encouragements. Je ne sais pas si la romance est impactée, je n'ai pas encore beaucoup de retours, mais en tout cas pour ce qui est de romans contemporains, il est vrai que cette réponse ne me surprend pas en ce qui concerne les grosses M.E.. Du coup je me tâte à tenter l'auto-édition mais c'est une forme d'engagement plus conséquente, et ça me fait un peu peur.
Merci. Oui ça fait quelque chose d'écrire le mot "fin", comme un léger pincement au coeur, de devoir abandonner nos héros, de ne plus penser à leurs aventures nuit et jour. Et d'un autre côté ça permet de faire une pause et de nourrir notre esprit de nouvelles histoires et de nouveaux types d'écriture.
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Philippe Sebbagh
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