Serah
Je vais poser une question qui fâche un peu, je crois.
On lit souvent « J’écris pour moi. » Comme une mantra sacrée. Comme si vouloir écrire pour être lu·e, c’était un peu sale. Un peu vain. Un peu… commercial ? On m’a dit que c’était mal. Que la seule raison valable d’écrire, c’est pour soi-même. Pour l’art. Pour l’âme. Pour les fantômes qui nous inspirent. Pour les étoiles. Pour impressionner un ex. ou juste… parce que mon clavier a signé un pacte avec une entité obscure... Ah. Pardon. Je me suis un peu égarée là.
Moi je vais dire un truc bizarre : J’écris parce que j’ai besoin que ça sorte. Et parce que j’ai envie que quelqu’un me dise : « Hé. Ton chaos m’a parlé. Tes personnages m’ont giflé. J’ai vibré avec toi. »
Alors non, je n’écris pas que pour la gloire (ou peut-être que si 😅). Mais j’écris aussi pour transmettre. Pour toucher. Pour que ça résonne quelque part. Sinon j’écrirais dans un carnet que je brûlerais ensuite en offrande à la pleine lune (ce que Salem (mon chat), préférerait. Il dit que je passe trop de temps avec mon clavier et pas assez à lui masser la nuque. Il pense que j’ai une liaison avec un personnage fictif. Il n’a pas tout à fait tort... 🤷♀️)
-- Et vous, vous écrivez pour qui ?
Pour votre vous intérieur en manque d’amour ? Pour votre meilleure pote ? Pour le fantôme de votre prof de français de 3e ?
-- Et est-ce que c’est grave d’écrire aussi pour les autres ? Pour les lecteurs ? Pour laisser une trace ?
Bref, aujourd’hui j’avais besoin d’en parler. De sortir ça de mon clavier. Venez en discuter. Je suis sûre que ça va réveiller des conversations aussi belles qu’un chapitre écrit à 2h du matin sous une pleine lune. 🌝
On lit souvent « J’écris pour moi. » Comme une mantra sacrée. Comme si vouloir écrire pour être lu·e, c’était un peu sale. Un peu vain. Un peu… commercial ? On m’a dit que c’était mal. Que la seule raison valable d’écrire, c’est pour soi-même. Pour l’art. Pour l’âme. Pour les fantômes qui nous inspirent. Pour les étoiles. Pour impressionner un ex. ou juste… parce que mon clavier a signé un pacte avec une entité obscure... Ah. Pardon. Je me suis un peu égarée là.
Moi je vais dire un truc bizarre : J’écris parce que j’ai besoin que ça sorte. Et parce que j’ai envie que quelqu’un me dise : « Hé. Ton chaos m’a parlé. Tes personnages m’ont giflé. J’ai vibré avec toi. »
Alors non, je n’écris pas que pour la gloire (ou peut-être que si 😅). Mais j’écris aussi pour transmettre. Pour toucher. Pour que ça résonne quelque part. Sinon j’écrirais dans un carnet que je brûlerais ensuite en offrande à la pleine lune (ce que Salem (mon chat), préférerait. Il dit que je passe trop de temps avec mon clavier et pas assez à lui masser la nuque. Il pense que j’ai une liaison avec un personnage fictif. Il n’a pas tout à fait tort... 🤷♀️)
-- Et vous, vous écrivez pour qui ?
Pour votre vous intérieur en manque d’amour ? Pour votre meilleure pote ? Pour le fantôme de votre prof de français de 3e ?
-- Et est-ce que c’est grave d’écrire aussi pour les autres ? Pour les lecteurs ? Pour laisser une trace ?
Bref, aujourd’hui j’avais besoin d’en parler. De sortir ça de mon clavier. Venez en discuter. Je suis sûre que ça va réveiller des conversations aussi belles qu’un chapitre écrit à 2h du matin sous une pleine lune. 🌝